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Du 1er octobre 2020 au 27 juin 2021

16e EDITION

VINYLESMANIA

 

L’exposition « VinylesMania : les faces A et B d’une reconquête musicale » du musée de l’Imprimerie et de la Communication Graphique propose de dévoiler ce qui définit notre lien retrouvé avec les vinyles, mais aussi de faire le tour du monde en images de celles et ceux qui les font vivre, des fabricants aux collectionneurs, en passant par les créateurs de pochettes de disques et les boutiques.

 

affiche VinylesMania
Vinyles en BD

A l'occasion de cette exposition, 15 auteurs de la scène BD contemporaine ont (ré)inventé la pochette Vinyle de leur rêve. Voici en avant-première 5 des créations de l'exposition VinylesMania.

Cécile Becq :
Dans cette ré-interprétation, l'idée était de faire comme si
la femme qui photographiait Alain Bashung sur la pochette de “Osez Joséphine” était en pleine séance photo de la pochette de l'album “Fantaisie Militaire”.
Une séance photo aquatique et sensuelle.

Lou Lubie :
Inspirée de l’album de Mika “My Name Is Michael Holbrook” (2019), cette pochette explore des tranches de l’identité profonde de Manu, le héros apparemment sans failles de ma bande dessinée à paraître, "L’Homme de la situation".

Jaime Martin :
En 1980, j'avais 14 ans et je venais d'entrer au lycée. Là, j'ai découvert un son tonitruant, totalement nouveau pour moi. Ils n'étaient que trois, mais ça sonnait comme si les portes de l'enfer avaient été ouvertes. Chaque fois que j'écoutais cet album,
j'entrais dans un état d'euphorie similaire à celui produit par certaines substances. 40 ans plus tard, Motörhead est toujours à mes côtés.

VinylesManie_Alfred

Alfred :
J'ai découvert les chansons de Vinicio quand je suis retourné vivre en Italie, il y a 12 ans. Tout de suite, cet étrange type aux airs de diablotin-poète habillé comme un dandy vagabond, m'a touché. Avec ses chansons-mondes remplies de voyages, d'amour, de mort et de créatures chimériques, j'avais la sensation de trouver un endroit où me poser un moment.
“Di Città in Città”, est le titre d'une de ses chansons.

Catel :
Nico avait enregistré la chanson du film écrite par Gainsbourg en 1963, mais la production préféra faire chanter Juliette Gréco. Cette version est restée inédite pendant des décennies, alors que Lou Reed et Andy Warhol profiteront avec le “Velvet Underground” de la voix sépulcrale et intemporelle de la chanteuse allemande.

 
A écouter :

Découvrez la playlist de l'exposition en cliquant ici.

 

 

  VinylesMania, la visite virtuelle